Rechercher le confort total, un moindre stress, ou un stress très éprouvant pour grandir?

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Et me voilà, nous sommes vendredi, j’ai une heure pour manger. Le scénario habituel, une bougie, un plaid, et une musique de fond et personne … LA SERENITE dans ma bulle .seule.. Un hâvre de paix.. Cette musique toujours le fil rouge. J’ai une envie d’écrire. De quoi je ne sais pas encore. Mais comme je me suis donnée le leitmotiv cette année de toujours suivre cette intuition, cette énergie de vie, cette énergie de plaisir et dérouler le fil petit à petit sans trop chercher à en rechercher le sens, mais aller ou cela m’appelle. Je me mets devant l’ordinateur et ……J’écris « L’adaptation ». Va alors pour ce thème. Autant le langage orale n’est pas réellement mon fort et m’insécurise (si ce n’est dans une intimité) (. On m’a reproché dans le passé d’être trop cash, trop brute, que je ne m’exprimais pas assez bien et distinctement ….et cela a laissé des marques et des insécurités )autant l’écrit à toujours été pour moi sérénité, et apaisement. Les mots coulent, les phrases jaiissent … Ah que je réaffirme cet amour des écrits. JE ne suis pas George Sand, ou jean d’Ormesson bien que je fais partie des personnes mélancoliques des livres papiers, des correspondances reçues par la poste à n’en plus finir ou l’amour de la dialectique transparait dans le choix de ce mot ou cette métaphore plutôt qu’une autre. J’aurai ADORE manier les verbes comme eux. Mais il n’empêche que j’y prends toujours un réel plaisir. Et comme j’aurai choisi cette thématique pour 2023 et qu’elle me l’aura plus que très bien rendue me voici donc partie dans de nouvelles péripéties mentales.^

Qu’est-ce qu’une adaptation?

L’adaptation a de beau dans ce sens qu’elle sous-tend que l’Homme a en sa capacité une condition sine qua none a tout obstacle. Cette capacité tend à être remodifiée et reconsidérée au fur et à mesure du temps qui passe. Il peut s’agir pour certain de lutter et s’adapter à une contrainte en y faisant face, mais également pour d’autre à la solutionner en fuyant ou à s’en dégager en ne la validant pas nécessaire dans sa vie. Mais encore une fois il continue de s’agir d’adaptation. Le sens de ce mot tend à équivoque car il demeure infinie en terme de points de vue et de relation à soi.

Le but de cette adaptation : ne pas être mis en souffrance ou en port a faux. Ne pas être dans une situation de danger ou de stress corporel psychique ou émotionnel. Avoir le maximum d’effet pour le minimum d’actions (devise ostéopathique.) Et que cela sert-il ? Nous le verrons bien plus tard : mais le lien a soit, et également le lien à l’autre. LA meilleure adaptation réside dans le fait de ne pas soumettre les autres à notre regard sans les autoriser à nous soumettre à leur propre regard. Et donc finalement que cela sert il ? Le lien. Toujours le lien. Il n’y a pas d’adaptation si le lien n’est pas créer entre l’autre et soi, et entre l’extérieur et l’intérieur. Comment s’adapter à quelque chose que nous n’identifions pas de corrélable à nous même. Comment parvenir à s’adapter à une situation que nous n’estimons pas de favorable.

JE ne pourrais être amené à tout décrire, il me faudrait un livre entier, bien que cela serait un aboutissement qui me rendrait heureuse , mais je n’y suis pas encore .. Il me reste encore plusieurs « adaptations » à créer et objectiver comme favorables^^

Quelle est la meilleure tactique ?

Je m’interroge beaucoup ces jours ci quant à la meilleure manière d’amener un patient/quelqu'un à grandir. Est-ce en l’aidant à se sortir d’une situation qu’il perpétue inlassablement sans conscience de ce scenario ou en l’amenant à se réaliser dans ce scénario avec le but de lui faire ré entrevoir une nouvelle forme de sécurité émotionnelle. Est-ce dès le départ quand nous avons en nous cette capacité de percevoir la bonne direction pour lui, notre rôle de l’amener à continuer ce scenario mais de la façon la moins dangereuse possible ou bien de l’amener à entrevoir en quoi sortir de ce scénario lui serait profitable par une remise en conscience de ce qui se trame à l’intérieur de ce scénario ? Vaste programme.. Laisser les conditions, laisser les conditions mais changer la réaction émotionnelle, ou lui apprendre à entrevoir des conditions plus favorables ?

Beaucoup diront que ce n’est pas la stratégie initiale qui est dépendante du résultat mais force est de constater qu’une main tendue vers soi est davantage stimulante pour beaucoup plutôt qu’un fusil pointé sur soi pour s’adapter. Mais encore une fois est ce réellement un fusil ou notre perception et nos propre contraintes qui le déterminent comme l’un.

Ainsi se pose la question de l’environnement. Est-il préjudiciable d’être mis en contrainte à grandir, ou est-il primordiale de ne plus rechercher a le définir et à s’adapter.

Comment déterminer ce qui est l'option la plus adéquate à un moment T?

Il nous est possible de beaucoup apprendre dans l’insécurité mais il est plus doux d’apprendre dans la sécurité lorsque l’insécurité à beaucoup été présente… chaque scenario touchera la sensibilité de chacun et le parcours déjà tracé. Et je pense que les deux sont à envisager comme solution. Chacune de ces méthodes si elle est amenée au bon moment sera efficace pour le patient. ( Attention à ce que le « patient /le cobaye » est donné réellement avec conscience son consentement par un OUI , jouons, je souhaite être dans cette position d’être vue et de me confronter à ce que j’apercevrai de moi)

J'ai été plusieurs fois confrontée dans ma vie à des personnes me stipulant que SI pour grandir il faut être soumis à un stress, et il faut volontairement créer ce stress comme environnement initial, certes stress minimal pour faire grandir autrui ..et encore dernièrement avec un thérapeute. Avant d’opposer il m’a fallu réunir : Au service des autres, nous sommes tous les deux dans une recherche de stratégie la plus adéquate possible pour amener un patient dans une détermination de lui-même qui serait la plus favorable et qui ne l’anime plus dans un rôle de victime mais de conquérant affirmé à créer la vie qu’il souhaite avoir . Nous recherchons à solutionner une défaillance d’adaptation a un environnement, mais aussi parfois à faire modifier les contraintes extérieures. la proposition faites dans un cas étant de maintenir la cause externe tout en stimulant les capacités inhérentes du patient, « comment maintenir ce qui ne parait pas envisageable en solution , et aider par tout un système de test intellectuel, sensoriel, tactile, de communications, qui se seront montrés concluant au fil des tests et des conversations,, à considérer cette hypothèse de départ impensable en finalement quelque chose de simple et tout à fait possible. » .Dans un autre cas de figure, le point de vue est de déterminé dès le départ si cette adaptation sera profitable au patient dans son avenir, et en quoi elle le servira. Est-ce quelque chose de sensé de donner une capacité d’adaptation au corps, au psychique, a l’émotionnel, a la conscience et a l’inconscient a quelque chose qui ne lui sera pas profitable en fin de compte ? L’enjeu du raisonnement d’opposition est là. Est-il favorable d’enlever toutes contraintes, ou la contrainte ne peut pas être définie aussi dans ce qui nous amènera vers ce qui sera bon pour nous avec le moins d’effort… Pourquoi s’adapter à un stimulus si nous pouvons l’éviter…mais l’évitement n’est-ce pas également une adaptation ?

Soulever les contraintes d’adaptation lorsque le combat extérieur est juste oui bien sûr, mais la perspicacité à comprendre et traduire si oui ou non cette adaptation sera constructive dans le temps et n’est pas un leurre a l’ego d’être adapté à toutes les situations pour être en plein pouvoir de son potentiel. A quel moment nous sommes en capacité réellement de discerner et d’objectiver dès le départ si une adaptation vaut mieux qu’une inadaptation. Cette réalité semble encore assez assidue. Le point de congruence semble être qu’à mesure que l’adaptation se fait le corps renvoie aussi au mental ce qui lui parait réellement juste de ce qui ne l’est pas. A mesure que le corps retrouvera une capacité mobile, mouvante, à ce stimuli ou cette proposition faite, la conscience refera surface non pas dans un état de stress mais également d’apaisement. LE stress est il une nécessité, dans certain cas oui dans d’autres il pourrait être obsolète.

Alors finalement qu’est ce qui est juste d’après vous. Positionner le patient dans un état minimal de stress pour ensuite l’amener à réagir à ce stress ou dans une sécurité totale. Adapter tous les scenarios possibles pour être en pleine capacité à choisir peu importe la suite . Ou tendre directement à amener le patient dans une position la plus confortable possible dès le départ et l’amener à reconsidérer si ses mécanismes lui sont profitables ou non en tant que tels dans sa vie et l’aider à se réapproprier le plein pouvoir et la maitrise de l’ensemble de ces facultés de choix à tel ou tel scenario…

Il semblerait que ce soit un conflit vain non ?? Je l’ai supposé pendant de nombreuses années m étant sentie victime de ce scenario à toujours s’efforcer encore encore sous des averses ou des torrents. NON on ne grandit pas mieux sous la contrainte et les orages !! C’est encore et inlassablement ce conflit qu’il m’a été donne de ressentir à travers ce regard. Mais j’ai appris à entrevoir dans les orages leur magnifique force transformative . Il y a des sources d’élévation dans les champs de roses mais également dans les champs d’épines comme dirait Jean d’Ormesson. Où est la véritable force ? « Se nourrir du feu plutôt que de se considérer en danger m’a ton dit dernièrement ». C’est dans le feu qu’on estime le plein « pouvoir » de ces forces qui sont le courage, la pugnacité, la volonté et la persévérance…. Et ces forces ne s’apprennent que dans le feu … Donc acceptons ce feu et apprenons également toutes les autres forces qui déterminent la grandeur de l’homme : l’amour, la réconciliation, le partage, la volonté de lier et d’unir.

S'adapter ou ne pas rechercher à s'adapter telle est la question.

Chacune de ces méthodes réaffirme une envie de transgresser l intransgressible : le jeu de la vie et des forces et faiblesse, à quel moment nous définissons un obstacle comme obstacle, une épreuve comme épreuve, ou un cul de sac comme un moyen de se re engager ailleurs. A quel moment cette inadaptation nous servira plus qu’une adaptation et à quel moment elle nous sera défavorable ? Le conflit de beaucoup d’entre vous et du sens même de la vie : choisir le calme et la douceur ; ou le torrent et les vagues de façon volontaire. Qu’est ce qui sert le mieux les objectifs de vie mais également l’élévation de conscience de l’âme et de l’homme.

Je rajouterai qu’il est de la responsabilité de chacun de déterminera si l’ampleur du stress lui ai favorable ou non. Et s’il se sent en accord avec le fait d’être soumis aux intempéries et à ce moment précis si cela peut être remis à plus tard et si le présent aspire à davantage de calme. De se sonder ? Qu’est-ce que je recherche ? Est-ce que cela va tendre à réaffirmer et ouvrir des blessures ou au contraire à les solutionner. Et cela est dépendant de la capacité ou non à jauger de ce qui servira réellement l’avenir. Certains diront qu’avec plusieurs outils on a plus de chance de s’adapter et d’autres diront que nous avons déjà les outils parfaits au moment présent pour combattre ce qui doit être combattu et rechercher ce qui doit être trouvé à ce moment précis de notre vie. Et que si cela n’est pas le cas il est préférable d’éviter ce qui doit l’être. Mais alors sommes-nous conditionner à ne jamais rechercher plus et mieux ?

Qui recherche à améliorer, la partie lumineuse en nous, qui nous amènera a découvrir la plus belle part de nos potentiels ou la partie ombre en nous qui recherche à se positionner en contrôle de ce qui n’est pas d identique à ses attentes et aspirations mais ne servant en réalité que le regret de ne pas avoir été en lien avec ces forces dans son parcours … Le jeu de l’ego de rechercher à améliorer ce qui n’est pas admis comme bon est un vaste sujet qui prendrait encore des pages et des pages et voici la fin de ma pause.. C’est pourquoi je me réserve le droit de repenser cet épisode dans un tout autre article sur les joies ou les remords de ses capacités innées mais également sur le sens de développement de ces facultés intrinsèques dans ce que nous appellerons « La vaste vision des qualités et défauts »

L' adaptation parfaitement imparfaite sert-elle plus grand que nous?

De plus, parce que j’aime ce jeu, de l’instabilité, ou les portes ne se referment jamais réellement sur une considération mais ou tout est toujours en mouvement et déséquilibre, et que je possède plusieurs casquettes à mon actif, je m’orienterai vers une autre vision de ce qu’est l’adaptation et de ce qu’elle sert. Qu’est ce qui conditionne l’expérience comme juste ou injuste ? Et si une capacité trop forte à s’adapter desservait concrètement a posteriori notre apprentissage sur terre ? Et si justement nous n’étions pas fait et conçu pour nous adapter à tous les scénarios et que cette inadaptation servait quelque chose de bien plus profond? La suite au prochain épisode ^^ …

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